Eric Aurenche a rappelé les enjeux et atouts majeurs de ce mode constructif : rapidité d’exécution, qualité contrôlée en usine, réduction des nuisances sur chantier, performance environnementale et réemploi des modules.

Il a également insisté sur la souplesse d’adaptation du modulaire face à la diversité des besoins : bâtiments temporaires, bureaux, écoles ou logements. Il a souligné son rôle clé dans la transformation de la société, en apportant des réponses concrètes aux défis de la transition écologique, de productivité et d’attractivité des métiers.

Au service des entreprises « du modulaire », constructeurs et/ou loueurs, l’ACIM, en tant que syndicat professionnel agit concrètement dans les domaines technico-réglementaire pour défendre leurs intérêts et valoriser leur savoir-faire.

Le syndicat intervient dans plusieurs dossiers complexes, majeurs pour les professionnels du secteur :

• RE2020 : proposition d’exigences alternatives adaptées aux constructions dites « provisoires ».

• Étude comparative entre la construction traditionnelle et la construction modulaire.

• Certification QB53 portée par le CSTB, référence qualité pour les bâtiments modulaires.

• Rédaction des Règles Professionnelles Modulaires pour les structures métal, bois, béton et multimatériaux.

• Travaux à Bruxelles sur le Règlement Produits de Construction, afin de clarifier le statut du module : produit ou ouvrage ?

• Participation aux travaux de normalisation internationale avec la norme ISO “Prefabricated Buildings” portée par la Chine.

• Promotion des bonnes pratiques QHSE (Qualité, hygiène, sécurité, environnement).

Une intervention claire et visionnaire, illustrant la volonté de l’ACIM de promouvoir une construction modulaire moderne, durable et responsable, au service des territoires et des acteurs du bâtiment,  en collaboration notamment les architectes et l’UNFSA leur syndicat professionnel.